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C'est la vie, pas le paradis...
18 avril 2006

LA PEINE PARTAGEE REDUIT DE MOITIE LA DOULEUR....

amel_bent1Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença a vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits.Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur!

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.

Epilogue : Il y a un bonheur extraordinaire a rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.

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18 avril 2006

TOUT EN UN

hommage2

Vivre, c'est se connaître, s'accepter, aimer, communiquer et créer.
L'humanité est un grand corps dont chacun est une partie.
Apprenons à nous connaître, à savoir qui nous sommes.
Le bouton d'or ne fleurit pas avec l'edelweiss, il s'épanouit dans la prairie où elle ne survivrait pas.

L'oiseau ne donne pas de parfum et les fleurs ne chantent pas !
Toute vie peut être riche, belle et créative.
Acceptons nos différences.
Chacun a des raisons d'être et d'agir.

Il y a autant de voies que d'individus.
Chaque voix/voie est unique.
La cacophonie vient de ce que certains veulent imposer le ton.
Aimer, c'est dire oui à ce qui est sans juger.

La vie est mouvement.
Ne restons pas à chérir nos opinions
Dansons pour multiplier nos points de vue.
Après les fleurs, viennent les fruits... et puis l'automne...

Acceptons l'impermanence.
Pour réenchanter le monde
Goûtons à la beauté, savourons chaque instant et prêts à recevoir...
Donnons sans rien attendre.

Accompagnons la danse de la vie.
Vivre et créer sont les deux versants
De la colline de l'évolution

18 avril 2006

L'INFINI

hommage1

L'infini, c'est une vie, une vie qui ne finit jamais, c'est une vie qui s'écoule, une vie d'homme, d'homme puissant.

Cette vie, vous la connaissez, vous la connaîtrez, elle est belle, elle s'enfuit mais elle n'est pas finie, c'est la vie d'un homme que vous connaissez, que vous connaîtrez, un homme que vous verrez, quand vous mourrez. Vous le verrez au paradis, assis. Cet homme a une vie, une vie d'infini.

Vieillards, rassurez-vous, vous n'êtes que de jeunes hommes, ne vous pressez pas, ne pressez pas la vie, vous le connaîtrez ce mystérieux infini que vous redoutez, vous le verrez ce Dieu, ce troublant infini.

Je cherche l'infini mais pourquoi je le cherche du moment qu'il ne finit jamais ?

L'infini, nombre insaisissable, si grand, si grand.

Qu'est-ce que l'infini,

Peut-être Dieu et ses paraboles, l'invisible, l'introuvable qui connaît le passé, l'avenir, le destin, notre destinée.

Un crayon, on l'a dans les mains c'est l'infini et c'est tout on le cherche, on l'a.

L'infini, cette grande nature, un petit point sur la carte et la réalité, si grande, si grande.

Que l'homme est petit devant l'immensité !

L'infini, l'homme a peur de l'infini, peur de la vie qui s'enfuit si vite, si vite
qu'il ne peut la retenir.

L'infini c'est tout, c'est rien, l'infini, mot troublant, je rêve, je rêve à l'infini, à tout, à rien.

Les jours passent, on devient vieux, la vie, est-ce une courbe de vitesse
dont l'accélération croît jusqu'à trente ans puis décroît encore plus vite ?

La vie fuit, fuit comme l'éclair. Où va la vie, dans l'infini ?

Terre qui' es là, terre qui nous supportes tous, terre qui es notre fortune, terre que l'on retourne, on te bouleverse avec une charrue, tu nous donnes ta fortune.

C'est toi qui fais pousser le bon blé qui devient notre pain de vie ; on te prend pour amie, dans quelques années on te dira au revoir...

Belle terre et belle vie, tu engloutis les hommes, terre, ô terre, que devient l'homme chez toi, disparaît-il dans ton royaume souterrain ?

Toi qui reçois les hommes, dis-nous ce qu'est la vie dis-nous ce qu'est la mort.

Dis-le nous, à nous les hommes.

Nous sommes inquiets

18 avril 2006

DEUX PETITS HOMMAGES

hommageA ma soeur de coeur...

A ma petite soeur de coeur...
Qui pour la vie a beaucoup de rancoeur...
Confies moi tes doutes et tes peurs...
Car je t'aime comme une soeur...

Toi petite soeur ne me quittes pas...
Luttes et ne baisses pas les bras...
La vie est un éternel combat...
Et tu pourras toujours te reposer sur moi...

Toi petite soeur tu pourras toujours me parler...
Car jamais je ne t'abandonnerais...
Sur ta soeur tu pourras toujours compter...
Car à jamais je t'aimerais...

---------------------------------------------

A mon grand ami...

On s'est rencontré un beau jour d'été...
Et j'ai compris qu'on se lierais d'amitié...
Le temps a maintenant passé...
Et je ne m'étais pas trompée...

On se ressemble énormement...
Dans les bons comme les mauvais moments...
Tu as été toujours présent...
Et je t'adorerais toujours infiniment...

Ne crois surtout pas que je t'abandonnerais...
Car tout ce que je t'ai dis, je le pensais...
Je t'aiderais chaque jour à avancer...
Car je ne veux pas que tu partes à jamais...

J'ai trouvé en toi un véritable ami...
Et je crois fort en ce sentiment qui nous lie...
C'est pour cette raison que je te dis...
Qu'on restera amis pour la vie...

Bisous à toi, mon grand ami...

18 avril 2006

POURQUOI ??? TOUT SIMPLEMENT POURQUOI...

pourquoiPourquoi aller bien ne dure jamais?
...
Pourquoi obscurité ratrappe toujours lumière?
...
Pourquoi sourire s'efface pour laisser place aux soupirs?
...
Pourquoi je sens encore le vide me gagner?
...
Et toi, pourquoi ne me parles tu plus ?
...
Juste parce qu'être heureuse ne me ressemble pas...
...
Juste parce que la tristesse fait et fera toujours partie de moi...
...
Juste parce que mes yeux ne savent plus du tout sourire...
...
Juste parce que la réalité me donne envie de fuir
...
Et moi, j'ai juste fait les mauvais choix

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18 avril 2006

PETIT ANGE SI FRAGILE

aoi1Petite Ange de porcelaine
Ne s'effritant de nulle part
Il faut veiller sans perdre haleine
Pour que tu restes saine, épargnée par la gangrène

Dressée en un équilibre incertain
Sur cette terre si instable
Ta lumière oscille au bout de ta main
Venant bercer mes rêves endormis

Mais mes songes pourtant ne cessent d'avertir
Mes propres mains qu'elles soient toujours plus agiles
Qu'elles te caressent douces comme un soupir
Belle Ange en porcelaine tu es si fragile

Toi si fragile et si belle
Je te garderais sous mon aile
Pour te protéger toujours
Du mauvais sort des sortilèges

Toi si joviale, petite lumière pleine
Veilleuse ma main t'aiderait
Ma fragile Ange en porcelaine
T'aiderait à ne te briser jamais

18 avril 2006

QUELQUES MOTS D'AMOUR

bergerMichel Berger :

Il manque quelqu'un près de moi
Je me retourne tout le monde est là
D'où vient ce sentiment bizarre que je suis seul
Parmi tous ces amis et ces filles qui ne veulent
Que quelques mots d'amour

De mon village capital
Où l'air chaud peut être glacial
Où des millions de gens se connaissent si mal
Je t'envoie comme un papillon à une étoile
Quelques mots d'amour

Je t'envoie mes images
Je t'envoie mon décor
Je t'envoie mes sourires des jours où je me sens plus fort
Je t'envoie mes voyages
Mes jours d'aéroport
Je t'envoie mes plus belles victoires sur l'ironie du sort

Et dans ces boîtes pour danser
Les nuits passent inhabitées
J'écoute les battements de mon c½ur répéter
Qu'aucune musique au monde ne saura remplacer
Quelques mots d'amour

Je t'envoie mes images
Je t'envoie mon décor
Je t'envoie mes sourires des jours où je me sens plus fort
Je t'envoie mes voyages
Mes jours d'aéroport
Je t'envoie mes plus belles victoires sur l'ironie du sort

De mon village à cent à l'heure
Où les docteurs greffent les c½urs
Où les millions de gens se connaissent si mal
Je t'envoie comme un papillon à une étoile
Quelques mots d'amour

18 avril 2006

LE SILENCE DES MOTS

silence_motsSi seulement il existait des mots
qui sauraient te raconter,
je trouverais les plus beaux
ceux qui ne peuvent rien briser.

Je les placerais devant toi
sur une tendre melodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit.

De ta tendresse et de ta douceur
ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton coeur
un amour infini.



Pourquoi donc cette solitude
d'un coeur qui a tant souffert,
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire.

Ce matin je pense à toi
et les mots dansent devant mes yeux,
j'aimerais être dans tes bras
plus un seul mot rien que nous deux.

Dans le silence de chaque mot
il y a tant de parole et d'amour
que tout ce que mon coeur trouve beau,
grandit à chaque jour.

18 avril 2006

MOTS AU QUOTIDIEN...

bla1les mots de tous les jours
ne portent ni veston ni cravate
ils dépeignent le quotidien
ils parlent de sentiments
de caresses et d'affection
ils tapent sur l'épaule
du copain qui est dans le pétrin
qui a besoin de compréhension
ils lui disent les mots qu'il faut
et ils versent avec compassion du baume
sur les plaies qui marquent sa peau

sans se prendre pour des acrobates
les mots sourient aussi à la vie
ils leur arrivent de faire les bouffons
de marcher les pattes en l'air
ils s'esclaffent et rigolent
ils racontent des blagues
souvent même assez polissonnes
s'expriment sans faire de détours
sur le sexe et la drague
ils s'amusent à jouer des tours
sans prendre les choses trop au sérieux

mais les mots comme va le vent
vite changent de direction
virent de tribord à bâbord
deviennent tantôt tristes
avec des accents mélancoliques
tantôt ils sont remplis d'angoisse
affichent des visages affligés
parfois avec gène ils bafouillent
ne savent plus trop quoi dire
alors tout piteux ils se taisent
leurs silences éloquents en disent long

à d'autres moments leur ton est lyrique
ils s'enfilent comme des perles
et s'alignent pour former des vers
qui disent avec plus de douceur
l'amour que l'on n'ose déclarer tout haut
ils prononcent tout bas les déclarations
de l'amoureux transi à sa bien-aimée
et quand ils deviennent muets
ce n'est pas parce qu'ils bougonnent
c'est qu'ils n'ont plus rien à dire
et que dans le dictionnaire ils dorment

18 avril 2006

PAROLE, PAROLE

dalidaDalida & Alain Delon :

A.Delon :

C'est étrange,
je n'sais pas ce qui m'arrive ce soir,
Je te regarde comme pour la première fois.

Dalida :

Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots
Je n'sais plus comment te dire,
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d'amour...
que je ne cesserai jamais de lire.
Des mots faciles des mots fragiles
C'était trop beau
Tu es d'hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité.
Mais c'est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi
quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
et emporte au loin le parfum des roses.
Caramels, bonbons et chocolats
Par moments, je ne te comprends pas.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
qui aime le vent et le parfum des roses
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
se posent sur ma bouche mais jamais sur mon c½ur
Une parole encore.
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin te parler....
te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots

Comme j'aimerais que tu me comprennes.
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois.
Des mots magiques des mots tactiques
qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu.
Oui, tellement faux
Mon seul tourment et mon unique espérance.
Rien ne t'arrête quand tu commences
Si tu savais comme j'ai envie
d'un peu de silence
Tu es pour moi la seule musique...
qui fit danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats
Si tu n'existais pas déjà je t'inventerais.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
qui aime les étoiles sur les dunes
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
se posent sur ma bouche mais jamais sur mon c½ur
Encore un mot juste une parole
Parole, parole, parole
Ecoute-moi.
Parole, parole, parole
Je t'en prie.
Parole, parole, parole
Je te jure.
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu est belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole
Que tu es belle !
Parole, parole, parole, parole, parole
encore des paroles que tu sèmes au vent

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C'est la vie, pas le paradis...
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  • Quelques idées, pensées qui trottent dans la tête... Des textes, citations, poèmes... croisés au fil du temps qui veulent dire bien des choses quand on y réfléchit. En voici en vrac suivant l'humeur du moment.
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