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C'est la vie, pas le paradis...

29 janvier 2013

Problèmes de communication ???

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29 janvier 2013

Etre ce que l'on est...

Il est tellement important de laisser certaines choses disparaître, de s'en libérer, de s'en défaire. Il faut comprendre que personne ne joue avec des cartes truquées, parfois on gagne, parfois on perd...

N'attendez pas que l'on vous rende quelque chose. N'attendez pas que l'on reconnaisse vos efforts, que l'on découvre votre génie, que l'on comprenne votre amour.

Vous devez clore des cycles. Non, par fierté, par incapacité, ou par orgueil mais simplement parce que ce qui précède n'a plus sa place dans votre vie.
Fermez la porte, changez de disque, faîtes le ménage, secouez la poussière. Cessez d'être ce que vous étiez, devenez ce que vous êtes.

 

 

29 janvier 2013

Communiquer...

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"Il faut savoir ouvrir son coeur, dire ce que l'on a à dire : ses émotions, ses sentiments sinon, ça vous ronge à l'intérieur...
Le monde est devenu trop froid. Les gens ne s'écoutent plus, ne se regardent plus. Ils n'ont plus le temps de rien. Ils ne savent plus ce que c'est de regarder la vie avec le coeur.
Savoir tendre la main, dire bonjour, sourire à un inconnu sont les bases pour vivre dans un monde meilleur.
Réapprenons ensemble la communication !!!"
29 janvier 2013

Hé oui...

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29 janvier 2013

Un peu d'humour

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3 avril 2012

Le conte de la femme en marche vers sa propre vie...

"Il était une fois une femme qui, après avoir traversé toute une vie de femme, habitée par différents amours, puis pas une relation essentielle avec un homme qui fut son mari, après avoir porté et élevé des enfants et exercé une profession passionnante, se retrouva au bord de l’existence, devant l’immense vide de sa solitude, celle de sa rencontre manquée avec elle-même.

Comment est-ce possible ? Comment se retrouver ainsi en solitude au mitan de sa vie, vide de projets, dévitalisée d’avoir trop donné, dépossédée de tous ses rêves car ils avaient été déposés en vain et à fonds perdus chez ceux qu’elle avait tant aimés ?

Comment continuer le chemin en se sentant habitée par une immense fatigue d’être, une profonde lassitude à simplement se réveiller le matin, à ouvrir les yeux, à respirer, se laver, s’habiller, affronter le regard aveugle de tant d’inconnus ? Comment avoir l’énergie d’esquisser des gestes qui n’ont plus de sens, de commencer quelques phrases avortées en imaginant tout de suite que demain est déjà périmé ?

Cela est plus fréquent qu’on ne peut l’imaginer dans le monde des femmes et des hommes d’aujourd’hui.

Au début elle manqua de vaciller devant la béance du désert de sa vie, la violence de la solitude, le vide de l’incompréhension qu’elle sentait tout autour d’elle. Souvent par la suite elle désespéra, quand des pensées malignes infectaient son corps, quand des douleurs tenaillaient son dos, déchiraient son ventre, harcelaient son cœur, quand son mal-être était si fort qu’elle imaginait ne pouvoir tenir debout, qu’elle aspirait à se coucher et mourir de lassitude et de désespoir de vivre.

Elle ne savait pas encore que sa vie n’attendait que ce moment pour se rappeler à elle. Une émotion, qui contenait tout un monde à elle seule, s’éveilla, remonta, chemina par des chemins secrets de sa sensibilité, jusqu’à sa conscience, vint éclore dans ses pensées pour devenir lueur, lumière, soleil avant de se transformer en énergie vivifiante.

Un matin, une petite phrase scintilla dans sa tête, dansa sous ses paupières, fredonna à ses oreilles : « Prends soin de ta vie, prends soin de ta vie, prends soin de ta vie… »

Mais d’autres voix, celles des vieux démons, des habitudes anciennes, vexées de se voir délogées par un courant de vie nouveau, tentèrent de prendre le dessus, de recouvrir la petite phrase par leur propre rengaine.
- Fais attention, en osant t’aventure sur le chemin de tes désirs, en voulant te découvrir toute seule, tu prends le risque de te perdre, de révéler des aspects de toi inacceptables.

-Tes désirs sont trompeurs.

- Tu crois avoir tout, tu n’as rien, tu n’es rien, tu n’as pas été capable de retenir ton mari, de garder tes enfants près de toi, de maintenir ton statut de femme aimée…

- Tu es en transformation, chantait la petite voix du début.

- Tu es affabulation, répétaient les voix d’une ancienne vie.

- Je peux m’aimer et me respecter.

- Pas du tout, tu as besoin d’être aimée, tu ne dois donner ton amour que si tu es aimée en retour !

- Je sens que je peux m’aimer et aimer sans avoir nécessairement un retour… pour le plaisir d’être.

- Non, ton cœur n’est pas suffisamment ouvert pour aimer, simplement aimer. Réfléchis bien, tu sais combien ton égo ne supporte pas de vivre le seul bien-être, le plaisir partagé. Il te faut ses sentiments, des serments, du solide, du durable à toute épreuve…

- Je ne suis ni dans le manque, ni dans le besoin, je suis dans le plein !

- Tu te montes la tête et bientôt tu regretteras, tu verras.

- Je suis musique, je recherche et je trouve mes accords.

- Tout est dérisoire, temps perdu, illusions trompeuses. Ne recommence pas à espérer ce que tu n’atteindras jamais.

- J’existe, j’existe enfin pour moi.

- Non, tu survis, tu végètes. Accepte ton sort sans révolte, sans rêve inutile, tu es sur la pente descendante de ta vie, reste tranquille ! Tout est joué, tu as perdu, tu mérites le repos.

- Je me rencontre… J’ai lâché le superflu.

- Tu vas manquer de l’essentiel : la sécurité !

Face à l’impuissance j’apprivoise des forces secrètes, face à l’urgence je fais confiance à mes états intérieurs, face au chaos j’écoute ma propre voix. Je suis sur ce chemin là.

Etonnée, elle n’entendit plus les autres voix, alors elle décida de s’écouter. A partir de ce jour-là, elle ne fut plus seule. Le dialogue qui l’accompagna l’ouvrit à de multiples rencontres."

 

Extrait de « Contes à aimer. Contes à s’aimer » de Jacques Salomé

7 novembre 2011

Continuez à avancer...

Il y a des moments dans la vie où tu prends conscience que si tu ne bouges pas, tu resteras toujours au même point. Tu te rends compte que si tu tombes et que tu restes à terre, la vie continuera sans toi…

Les circonstances de la vie ne sont pas toujours ce que tu souhaiterais qu’elles soient. La direction de la vie ne va pas nécessairement dans celle que tu escomptais. Sans pouvoir le comprendre, tu peux parfois être mené dans différentes directions que tu n’avais jamais imaginées, rêvées ou prévues. Toutefois, si tu ne t’étais jamais efforcé de choisir une voie, ni essayé de réaliser tes rêves, tu n’aurais alors peut-être aucune direction du tout.

Plutôt que de te demander quelle direction a pris ta vie ou te poser des questions à ce sujet, accepte le fait qu’une voie s’ouvre maintenant devant toi. Débarrasse-toi des "pourquoi" et des "si seulement" pour éliminer toute confusion. Ce qui est arrivé, c’est du passé. Ce qui est, voilà ce qui est important. Le passé n’est qu’un bref instant. L’avenir ne s’est pas encore réalisé, mais le présent est là.

Poursuis ton chemin pas à pas, avec courage, foi et détermination. Garde la tête haute et cible tes rêves vers les étoiles. Bientôt, tes pas deviendront fermes et ta position redeviendra solide. Une voie que tu n’avais jamais imaginée deviendra la direction la plus agréable que tu aies jamais espéré suivre. Garde confiance en toi-même et engage-toi dans ta nouvelle voie. Tu la trouveras magnifique, spectaculaire et t’apercevras qu’elle dépasse ton imagination la plus extraordinaire.

                                                                                    Vicki Silvers

7 novembre 2011

Passé & Futur

J'entends souvent dire "Il faut oublier le passé et regarder devant soi", "Aller de l'avant..."
Le passé ne s'oublie pas, non jamais !!! Il s'accepte !!! On lâche prise sur lui et on pardonne pour se libérer mais on n'oublie pas car il fera à jamais parti de notre histoire.
Quant à regarder devant soi, oui certes, mais avec cependant une réserve ! C'est surtout le présent que l'on regarde, "l'ici et le maintenant", le devant soi et le futur en découlera tout simplement...
7 novembre 2011

Question de morale !!!

Il était une fois un énorme monstre qui mangeait tous les habitants de la forêt. Rien ne pouvait l'arrêter.
Mais un jour, il s écroula raide mort.
A l'autopsie, on constata qu'il avait un anus si minuscule qu'il ne pouvait pas évacuer tout ce qu'il avait dévoré.

Moralité : Quand t'es un petit trou du cul, évite d'avoir une grande gueule...!!!
7 novembre 2011

La confiance...

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La confiance est quelque chose de fragile. Quand on a accordé sa confiance à quelqu'un, on éprouve un sentiment de grande liberté. Mais, quand il y a trahison, elle peut être définitivement perdue. Seulement voilà, on ne sait jamais à qui on peut faire confiance. Beaucoup de personne décident de ne faire confiance qu'à eux même. C'est sûrement la façon la plus simple de ne pas se brûler les doigts...!!!
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C'est la vie, pas le paradis...
  • Quelques idées, pensées qui trottent dans la tête... Des textes, citations, poèmes... croisés au fil du temps qui veulent dire bien des choses quand on y réfléchit. En voici en vrac suivant l'humeur du moment.
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