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C'est la vie, pas le paradis...

10 mai 2006

ILLUSION D'OPTIQUE

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8 mai 2006

QUELQUES CITATIONS

"L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe." (Gustave Flaubert)

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

"Soyez autodidactes, n'attendez pas que la vie vous donne des leçons." (Stanislaw Jerzy Lec)

"Mon passe-temps favori, c'est laisser passer le temps, avoir du temps, prendre son temps, perdre son temps, vivre à contretemps." (Françoise Sagan)

"Comme rien n'est plus précieux que le temps, il n'y a pas de plus grande générosité qu'à le perdre sans compter." (Marcel Jouhandeau)

"Il faut perdre la moitié de son temps, pour pouvoir employer l'autre." (John Locke)

"Vivre les malheurs d'avances, c'est les subir deux fois." (René Barjavel)

"Vivre c'est pour en jouir." (France Théoret)

"Cueillons les douceurs, nous n'avons à nous que le temps de notre vie." (Proverbe Perse)

"Nous ne nous tenons jamais au temps présent. Nous rappelons le passé ; nous anticipons l'avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours." (Blaise Pascal)

"Mangez, buvez, soyez heureux, car il se pourrait que demain nous ayons à nous priver !" (Harry Kurnitz)

"Hâtons-nous aujourd'hui de jouir de la vie ; Qui sait si nous serons demain ?" (Jean Racine)

"Personne ne sait si sa lumière brûlera jusqu'à demain." (Proverbe Arménien)

8 mai 2006

ORIGINE DU "CARPE DIEM"

carpe_diem6Carpe diem (quam minimum credula postero, « Cueille le jour sans te soucier du lendemain » (littéralement « Cueille le jour [et sois] la moins curieuse [possible] de l'avenir ») est un extrait de vers latin du poète intéressé par l'épicurisme et le stoïcisme Horace (dans ses Odes,I, 11, 8 « À Leuconoé »). Il résume le poème qui le précède et dans lequel Horace cherche à persuader Leuconoé de profiter du moment présent et d'en tirer tous les bénéfices, sans s'inquiéter ni du jour ni de l'heure de sa mort.  Ce "thème" est ancré surtout dans la pensée épicurienne. Il incite à bien savourer l'instant présent (sans toutefois récuser toute discipline de vie) dans l'idée que le futur est incertain et que tout est appelé à disparaître.

Détaché du passé à l'égard duquel il ne sait éprouver que de la gratitude, confiant dans l'avenir qu'il a su priver de la vaine espérance, le sage est décidé à vivre au présent. Non pour y assouvir un appétit de plaisirs, mais pour atteindre la sérénité de la vertu.

Pourtant ce qui pourrait donner lieu à une célébration de la vie immédiate devient dès le XVI° siècle prétexte à une leçon morale : l'évocation de l'élan vital manifesté par la nature entière, élan que la jeune femme aimée, insensible à la parole poétique, a le tort de ne pas vouloir partager, s'accompagne d'une méditation sur la mort et les ravages du temps. Que devient dès lors le discours amoureux ?

8 mai 2006

CARPE DIEM

Ai je le moral en baisse en ce moment ? Je me bornerai à dire qu'il est fluctuant, avec cette curieuse et angoissante impression qui me tenaille plus que d'habitude. Le "bonheur" (quel mot vague) peut basculer d'un moment à l'autre, l'existence ne tient souvent qu'à un fil.

Vivons donc l'instant présent ou du moins essayons. Pas facile de s'empêcher de penser aux lendemains, ou -et c'est peut être pire- de regarder le passé. Dans des moments de doutes j'ai la certitude de ne pas avoir une vie mais plusieurs. Plusieurs vies oui... Quand j'avais vingt cinq ans j'avais une partie de la vie que j'aurai du avoir à 40... Je vis parfois aujourd'hui des choses que je n'ai pas pu faire dans ma jeunesse... Tout semble à l'envers, chamboulé.

Il pleut encore sur mes paysages. Une pluie toute fine, même pas froide ; tout juste bonne à humecter les feuilles des arbres. Je n'arrive pas à dormir : c'est toujours les mêmes matins après ce genre de nuits. En me retournant encore et encore dans mes draps, je me dis qu'il faut que je dorme, sinon... Sinon quoi finalement ? Il ne se passera pas plus de choses dans ma vie aujourd'hui qu'hier, les mêmes heures plates défileront comme elles ont l'habitude de le faire, je n'y pourrai pas grand chose. Je me referai le film de la nuit, je me culpabiliserai encore et encore... je me dirai que tout ça ne sert à rien...

Et il continue de pleuvoir sur ma vie, sur tous ces moments inutiles, sur ces trous noirs qui me happent en même temps qu'ils me repoussent ; et pour quelques minutes de plaisir au fond de l'obscurité je paie le prix fort par des jours gris, des images de moi que je ne peux pas regarder dans une glace le matin. Je me hais, je me déteste. Je voudrai mourir à chaque fois pour refaire une existence, sans rien connaître de celles d'avant ; ressentir mon coeur battre, mon sang qui coule dans mes veines, oublier ce que j'ai pu être.Toutes ces choses grises, noires ; visqueuses et épaisses, masses informes que je ne contrôle plus. Je n'ai jamais été un ange et je n'en serai jamais un !!!

8 mai 2006

AHHH.... L'ANONYMAT...

Ce que je trouve super dans les blogs, c’est l’anonymat. Quand nous découvrons un blog, nous ne voyons jamais la personne qui écrit derrière son écran, mais nous la découvrons dans sa sensibilité, ses peurs, ses cris, ses larmes, ses rires, ses doutes. Nous sommes comme des aveugles, nous touchons sans voir. Nous touchons leurs cœurs, leurs vies, et je suis certaine que nous les connaissons quelquefois mieux que leurs proches. On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux… » cette phrase peut aussi s’appliquer aux blogs non ?

Et puis il y a les commentaires. J’ai toujours une appréhension dès que je reçois un commentaire. Qui peut bien s’intéresser à ce que j’écris ? Pourquoi moi ? Ce complexe d’infériorité qui me colle à la peau...

Je lis un message qui me parle et de suite je voudrais répondre, j’ouvre les commentaires et là rien, je n’arrive pas à exprimer mon ressenti, je voudrais tellement écrire « c’est beau, c’est grand, c’est fort et tellement vrai » Je commence à taper et hop, j’efface tout. Les autres commentaires que je lis ont tout dit à ma place et bien mieux que je ne pourrais l’écrire...

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8 mai 2006

GARDER ESPOIR

garder_espoirJe veux juste écouter le silence... Et me perdre dans le songe...

Vivre dans l'indifférence... A l'abri de vos mensonges...

Pleurer pour des bouts de vie... Qui aujourd'hui m'ont été volée...

Revivre encore à l'infini... Tout ces moments passés...

Mais se serait mourir aussi... Que de s'enfermer dans ce qui été...

Même si les rêves se sont enfuis... Il faut continuer à avancer...

Pour en construire de nouveaux... Autour d'une lueur d'espoir...

Et peut être qu'un jour je trouverai ça beau... Mais qui peut le savoir ? ...

6 mai 2006

VOYEZ-VOUS LES SILHOUETTES ?

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4 mai 2006

REMPLIR

caldendrierChaque matin le soleil se lève et chaque soir il se couche. Les heures passent d'un bout à l'autre de la journée, toutes identiques les unes aux autres à mesure que le temps avance. Que faire de toutes ces secondes que nous devons remplir ? Comment fait-on "passer" le temps ? 

Dans une époque où tout n'est que compétition, où l'ennui et la solitude sont mal vus (et c'est peu de le dire !), on se doit d'être occupé, affairé, voire débordé. L'agenda doit être rempli, noirci de lignes et de "choses à faire". A un rendez vous que vous proposiez combien vous ont répondu : "attends, faut que je vois mon planning, je suis débordé..." Curieuse époque où une partie des gens sont au chômage et où l'autre fait des journées de 12 heures. Etrange monde où la plus grande partie de l'humanité crève de faim et de soif tandis que l'autre croûle sous les régimes de toutes sortes. agenda

On dirait qu'il ne faut plus rêver, qu'il ne faut plus être poète : allons mes amis ! La société exige du réalisme, d'avoir les pieds sur terre, de prévoir l'avenir ! Plan retraites, assurance vie, livret épargne et autres placement sont constamment aux vitrines des banques, sur les écrans de télé, dans les journaux ; difficile d'y échapper et de se libérer de ce bourrage de crâne permanent. D'autant plus que les chroniques économiques relaient le tout du matin au soir et qu'on nous explique sournoisement que rien d'autre n'est possible... Je revendique le rêve, la poésie.

Je revendique le droit (voire la nécessité) de laisser un peu la vie couler, de se satisfaire du soleil qui se lève, de vouloir vivre dans ces pays "où rien n'est important que de vivre" comme dit Aznavour dans une de ses chansons.

4 mai 2006

TOUS ENSEMBLE

drapA l'heure où le monde se déchire pour un oui ou pour un non, où chaque jour la violence gagne du terrain partout, où tout est compartimenté, étiqueté, classé, fiché, fixé et rigidifié ; où les seules lois sont celles de l'argent, de la compétition, de la course effrénée qui ressemble à des marches arrière inexorables, où tout est bafoué avec mépris, ignorance, bêtise et racisme, méchanceté gratuite...

Pensons au bleu du ciel face à un paysage illimité où coulent de petites rivières paisibles, où les enfants jouent, que les chiens s'étirent au soleil avec au fond la mer qui brille avec des reflets d'argent.

Pensons que tous ensemble nous sommes interdépendants, que nous nous nourrissons chacun, chacune de l'autre. Que nous sommes tous et toutes, d'une manière ou d'une autre, et même si nos vies ne sont pas les mêmes, liés par des fils invisibles pour s'entraider, rendre ce monde meilleur, pour nous même mais aussi et surtout pour les générations à venir afin que nos enfants quand ils regardent et/ou regarderont l'avenir, voit un ciel d'un magnifique bleu et non d'un gris-noir monotone...

4 mai 2006

INTERROGATIONS IMPORTANTES DE NOTRE SIECLE

Chut :

sans_titre4Devant les spectacles d'un certain Monde, devant les souffrances et les injustices, les mépris et les dédains ; tout ce qui fait que l'être humain ne peut pas vivre debout il vaut mieux aujourd'hui se taire, s'emplir de silence pour ne pas perdre ne fut ce qu'un morceau de sa vie ? Se faire petit pour mieux être grand, reprendre son souffle pour ensuite courir plus longtemps au milieu de la jungle ?

Cette jungle que les Hommes ont créé eux mêmes pour s'emprisonner.

On dit que "demain est un autre jour" : pas toujours.

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sans_titre5Merveilleux fous :

Il y a des personnages que la société va nommer "étranges" voire "fous", que l'on va prendre pour des hurluberlus parce qu'ils font des choses que la "normalité" a du mal à avaler. Ces individus, on les retrouve dans tous les domaines mais suivant les domaines, ils sont plus ou moins acceptés même s'ils dérangent toujours de toute façon.

Mais ne vaut-il pas mieux être considéré comme fous, que d'être dans la "normalité", que de ne plus savoir penser par soi-même, que d'être bourré de préjugés, d'à-priori ?

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C'est la vie, pas le paradis...
  • Quelques idées, pensées qui trottent dans la tête... Des textes, citations, poèmes... croisés au fil du temps qui veulent dire bien des choses quand on y réfléchit. En voici en vrac suivant l'humeur du moment.
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